Née à Alençon en 1947, Françoise Sylvestre, qui est originaire du Jutland par son père, a toujours mené ses activités de journaliste, écrivain, libraire et éditrice avec la même passion. À une seule condition : que soient à portée de cœur la mer, l’île et le voyage. Elle a commencé par le métier de journaliste qu’elle a vite orienté vers le domaine maritime, la course au large puis la pêche hauturière. Son premier livre, Huit postiers cap-horniers, remonte à 1990. Depuis, au rythme d’un ouvrage par an, toujours écrit sur un quai, au bout d’une cale ou sur un bateau, elle publie, souvent avec la connivence d’un photographe, des impressions de voyages lointains, des évocations de paysages familiers, des aventures romanesques : Lumières et reflets des côtes danoises, Impressions de Suède, Sept jours à Saint-Barth et Léone, dont l’intrigue se noue aux îles Kerguelen où elle a séjourné en 1993 dans le cadre de l’inventaire patrimonial qu’elle avait proposé aux Terres australes et antarctiques françaises. Au nord, Françoise Sylvestre qui a visité le Spitzberg et s’est souvent rendue dans les Lofoten, aime aussi l’île écossaise d’Arran, les Shetland et les îles de la Madeleine. Elle a en outre eu l’occasion de faire escale à la Réunion et aux San Blas, de séjourner à Saint-Barthélemy et aux Saintes ainsi que de résider dans la plupart des îles du Ponant. D’abord installée à l’Île-aux-Moines, dans le golfe du Morbihan, où elle avait créé L’âme vagabonde, librairie maritime et maison d’édition de monographies insulaires, Françoise Sylvestre est retournée depuis 2008 vivre à Belle-Île, sur la côte sud en vue d’Hoëdic, pour s’adonner à nouveau à l’écriture.

Françoise dédicacera ses ouvrages Mardi 2 Août de 10h30 à 12h30 à l'Escale.

Né à Nice en 1973, Jean-Marc Cotta grandit au pied des montagnes qui l’invitent à rêver. Dès son enfance, les Pyrénées deviennent son terrain de jeux et lui ouvrent l’amour des grands espaces et des voyages. Aussi est-ce naturellement qu’en 1996 il devient accompagnateur en montagne, trait d’union entre l’homme et la nature. Ses nombreuses expéditions le mènent sur tous les continents, à la découverte de massifs isolés et des peuples qui y vivent. Mais c’est en Afrique que son cœur bat réellement. Il tombe amoureux du Cap-Vert où il travaille chaque année comme guide depuis 1999. De ses escapades là-bas, il rapporte des photographies qu’il livre dans Cap-Vert, l’archipel hors du temps, prix du Regard poétique au Salon international du livre insulaire d’Ouessant 2006. Il ne cesse depuis d’explorer cet archipel tant sur le plan géographique qu’ethnologique. Il prépare ainsi un nouvel ouvrage sur la thématique de la saudade.
Il a par ailleurs vécu plusieurs années en Bretagne au sujet de laquelle il a sorti un second livre Golfe du Morbihan, l’archipel poétique, avant de retourner vivre dans les Pyrénées auxquelles il projette de consacrer un ouvrage sur la flore. Depuis plusieurs années il se passionne en outre pour l’Albanie, une autre terre isolée.
Il organise et encadre des séjours de randonnée pour groupes constitués vers toutes ces destinations.

Jean-Marc dédicacera ses livres Mardi 2 Août de 10h30 à 12h30 à l'Escale.



 Dernier d'une famille de 9 enfants, Claude Plessis naît à Nantes en 1948. Il passe le bac en 1968, de justesse. Il "débarque" à la faculté de droit en septembre, après les "évènements". Cours du soir des Beaux-arts, essai en philosophie en 1969, club de poésie au musée des Beaux-arts. Puis, abandon des études; après le service militaire ( 40 jours de trou dont 10 de mitard ), il travaille un an pour un distributeur de produits surgelés comme chauffeur-livreur, et économise en vue d'un tour du monde. De retour des U.S.A., après quelques années de réadaptation à l'Ile-aux-Moines, il rencontre Soazig, avec qui il a deux filles, et s'installe à Blain, une petite ville de Loire-Atlantique, comme enseigniste.

Oganisé par l'association AMPP Bourus.

Dictionnaire. Le golfe du Morbihan de A à Z

François de Beaulieu, passionné de patrimoine naturel et culturel, consacre un dictionnaire au golfe du Morbihan. L'ouvrage très documenté est publié aux "Éditions Le Télégramme".

C'est parce que le golfe du Morbihan est «quelque chose d'unique» que les Éditions Le Télégramme ont choisi de lui consacrer un dictionnaire. Un ouvrage qui va au-delà des sentiers balisés et qui porte la marque d'un auteur fin connaisseur des lieux. «J'avais quatre ans lorsque j'ai mis les pieds pour la première fois sur l'île aux Moines. Par la suite, j'ai eu le choix entre faire de la voile et me lancer à la découverte du patrimoine. Vu que je n'avais pas une vocation de marin, j'ai opté pour la seconde solution», raconte Françoisde Beaulieu, qui a souvent évoqué le golfe du Morbihan dans la quarantaine d'ouvrages qu'il a consacrés au patrimoine naturel et culturel de la Bretagne.

Illustré par des documents inédits

Ce dictionnaire rassemble les multiples anecdotes, renseignements et réflexions que l'auteur a collectés au fil de ses explorations. On y trouve, de façon classique, des entrées pour chaque commune bordant le golfe et pour chacune de ses îles. L'ouvrage recèle aussi des articles sur les penseurs, peintres et écrivains qui ont marqué l'histoire culturelle du Mor Bihan. La nature y figure également en bonne place avec de nombreuses références sur la faune et la flore qui caractérisent cette contrée entre terre et mer. Plus surprenant:d'authentiques découvertes à l'image du «mell benniget», autrement dit en français «maillet béni». «Il s'agit d'un objet rare qui était autrefois apposé sur le front des mourants pour faciliter le passage dans l'au-delà. J'ai pu en observer un exemplaire retrouvé il y a une cinquantaine d'années à Locmariaquer», souligne François de Beaulieu. Un travail particulièrement poussé a été mené sur l'illustration de ce dictionnaire. «Nous avons recherché des documents inédits pour donner à ce livre un relief particulier», explique Sophie Picon, directrice éditoriale aux Éditions Le Télégramme. Il s'agit du deuxième dictionnaire d'une série qui devrait se poursuivre par le Cotentin.

Pratique
Dictionnaire du golfe du Morbihan, par François de Beaulieu, aux Éditions LeTélégramme, 333 pages, 28,50€.

40 joueurs du championnat de France viennent présenter ce nouveau sport le samedi 9 juillet à 16h sur la place du marché de l'Ile aux Moines.

Coupe du monde de Kinball à Nantes du 24 au 29 octobre 2011.

facebook de la coupe du monde : https://www.facebook.com/kinballworldcup2011

Site du club de nantes :  http://www.kinball-nakc.com
 

Le kinball en bref :

3 Equipes : Noir/ Gris/ Bleu. 4 joueurs par équipe.

Un gros ballon : 1.22 de diamètre pour moins d’un kilo

Terrain indoor : 21 m x 20 m

Cohesion- Tactiques- Rapidité

Le Kinball est un sport collectif qui se joue avec un ballon de 1,22 m de diamètre, ne pesant que 800 g. 3 équipes de 4 joueurs chacune évoluent sur un terrain de 21x20 m, le plus souvent en salle sur terrain glissant type taraflex ou parquet.

Chacune des équipes se voit attribuer une couleur grâce à des chasubles noirs, gris et bleus. En phase d'attaque, 3 personnes d'une même équipe soutiennent le ballon en formant une cellule. La 4ème personne frappe le ballon en « appelant » une couleur adverse « Omnikin bleu !», le but étant de viser une zone libre. L'équipe appelée, qui défend, doit alors relever le ballon avant que celui-ci ne touche le sol. Si elle y parvient, c'est son tour d'attaquer : elle appelle une couleur adverse et frappe le ballon en visant une zone libre... ainsi de suite. A noter que les joueurs d'une même équipe ne peuvent plus bouger si 3 personnes ou plus ont touché le ballon. Dès lors qu'une équipe commet une faute, les 2 autres marquent un point.